Ce jeudi 22 aout 2024 à Ouagadougou, la congrégation des sœurs de l’immaculée conception de Ouagadougou a organisé une messe d’action de grâce pour célébrer la fin des travaux de leur 14ème chapitre général.
Ce jeudi 22 août 2024, à Ouagadougou, la congrégation des Sœurs de l’Immaculée Conception de Ouagadougou a organisé une messe d’action de grâce pour célébrer la fin des travaux de leur 14ème chapitre général.
Présidée par Monseigneur Laurent Birfuoré Dabiré, évêque de Dori et président de la Conférence épiscopale Burkina-Niger, la messe a rassemblé de nombreuses sœurs, prêtres et fidèles catholiques.
Ce chapitre, qui suit la célébration du jubilé des 100 ans d’existence de la congrégation, marque leur entrée dans le deuxième siècle de leur histoire. « Cette célébration vise à rendre grâce à Dieu pour les fruits et les résultats du chapitre, à présenter le nouveau conseil général à Dieu et à inaugurer leur mission. Cela nous donne l’occasion de les féliciter et de prier pour elles afin qu’elles aient les grâces nécessaires pour porter cette lourde charge de représenter leur institut et de les conduire », a déclaré Monseigneur Laurent Dabiré. Pour lui, il est nécessaire de continuer, de renouveler et de relancer.
Selon la supérieure générale, Pauline Sawadogo, il s’agit d’une continuité de la mission. « Après 100 ans, nous avons encore des défis à relever dans la vie spirituelle, apostolique, communautaire et dans notre mission », a-t-elle affirmé avant de poursuivre : « Ce chapitre nous a permis de voir concrètement comment nous pouvons être témoins du Christ dans la vie de chaque jour ».
Pour Sœur Léontine Sawadogo de la congrégation des Sœurs de l’Immaculée Conception de Ouagadougou, la clôture du centenaire et de ce chapitre est une action de grâce. « Nous avons encore pu revisiter notre famille religieuse pour une meilleure réponse à l’appel du Seigneur face aux défis que notre monde nous lance », a-t-elle mentionné. « Je prie pour que les fruits de ce chapitre nous aident réellement à être des témoins crédibles de notre foi, dans un monde qui attend beaucoup de nous », a-t-elle conclu.
Monique Savadogo
Latifatou Esther, stagiaire
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