Un fait rocambolesque s’est passé en Espagne et au Portugal. Des hommes condamnés à verser de l’argent à leurs ex-épouses. Cette décision est une première en Europe mais, pas dans le monde.
Au Portugal, Après 30 ans de vie commune, un homme a été condamné à verser la somme de 60 000 euros à son ex-épouse au titre des tâches ménagères qu’elle a effectuées pour lui au cours de leur union. Le tribunal a considéré que l’homme soustrait de ces contraintes a pu en profiter pour se développer et s’enrichir sans que la femme ne puisse en faire, autant.
En Espagne, une femme, mère de deux enfants, mariée depuis 24 ans sous le régime de la séparation de biens a également attaqué son ex-époux en justice pour ne pas s’être occupé des tâches ménagères. Le tribunal a condamné l’ex-époux à lui verser plus de 200 000 euros. Selon la décision juridique rendue, la femme a pris en charge « la maison, la famille avec tout ce que cela implique ». Par ailleurs, il devra aussi payer une pension alimentaire mensuelle à son ex-femme pour ses filles.
A la lecture de l’ensemble des décisions de justice, il a été recensé que suite à cela, beaucoup d’hommes ont commencé à accomplir des tâches ménagères. Ils pensent que ces décisions de justice ne sont en réalité, qu’un énième privilège féminin.
À la vue de cela, ils se plaignent du fait qu’ils n’y ait pas de compensation financière pour tous les appareils réparés, les meubles montés, le rôle de chauffeur, de protecteur et de garde de corps qu’ils jouent pendant des années.
En chine et en Argentine, des jugements similaires ont été rendus en février 2021 et en juin 2019. Pour le dernier cas, un homme a été condamné à verser à son ex-femme, près de 160 000 euros.
Messieurs, si vous ne participez pas aux tâches ménagères, vous pouvez être poursuivi en justice.
Pour éviter de payer des amandes, vous devez aider vos femmes à accomplir les tâches ménagères. Sinon, cela risque de vous coûter très cher.
Si le travail domestique n’est pas comptabilisé dans la création de richesses d’un pays, beaucoup de femmes témoignent, qu’être femme et mère au foyer relèvent d’un vrai contrat à durée indéterminé (CDI), à plein temps.