Burkina Faso: Les candidats au BEPC affrontent les sujets avec sérénité

Les épreuves écrites des examens scolaires session 2024 ont débuté ce mardi 4 juin 2024, Les élèves en classe d’examens BEPC, BEP, CQP  et CEP ont eu 9 mois pour se préparer. Au micro de Queen Mafa, quelques candidat.es au BEPC dans la région du centre notamment du lycée privé Neerwata se sont exprimé.es à la sortie des premières épreuves écrites.

Nelly Ouédraogo 1^re jumelle, élève en classe de 3e au lycée privé Nerwata et composant dans son lycée d’origine, a trouvé le sujet de français abordable, comparé à celui des Sciences de la Vie et de la Terre (SVT). « J’étais stressée depuis hier parce que pour moi, les sujets qui allaient venir aujourd’hui, allaient être durs. Pour les épreuves de ce matin, le sujet de Français a été plus abordable que celui de SVT. Mais je suis confiante pour la suite » s’est-elle exprimée.

Nourdine Ouédraogo du lycée privée Nongloom évangélique quant à lui, a trouvé le sujet de SVT, un peu difficile. « J’ai commencé mes révisions quatre mois avant la date de l’examen. Même si le sujet d’SVT a été difficile, je suis prêt à affronter le reste des sujets et je suis confiant pour le résultat final » a-t-il confié.

Si pour Nelly Ouédraogo et Nourdine Ouédraogo, le sujet de SVT a été difficile, cela n’est pas le cas pour Rebecca Ouédraogo et Kadiatou Ouédraogo. Rebecca Ouédraogo du lycée Guetawendé a affirmé «Je me suis préparée depuis le début de l’année en bossant et en priant. J’ai trouvé le sujet de français et de SVT abordable. Je suis sûre de décrocher mon examen », a-t-elle rassuré.

Kadiatou Ouédraogo du lycée privé Pingrima, candidate malheureuse au BEPC 2023, se présente pour la deuxième fois à cet examen. « J’ai passé le BEPC l’année dernière et ça n’a pas marché. Cette année, j’ai commencé à me préparer depuis le début de l’année à travers des exercices que je traitais régulièrement. J’étais stressée hier. Mais, ça va aujourd’hui. Je suis confiante que je vais décrocher mon examen cette année », a-t-elle martelé.

                                                                                                   Monique Savadogo

                                                                                                       Divine Ouédraogo stagiaire