Au quotidien ou dans les bureaux, l’anxiété n’épargne personne. Et cela peut impacter le travail, les relations sociales ou professionnelles. Voici trois éléments qui pourront vous guider davantage.
Le perfectionnisme
Par exemple, « Un grand projet de travail qui est censé être un projet d’équipe peut se transformer en un projet solo pour la personne qui a ce trait de caractère, car tout doit se dérouler à sa façon parce qu’elle croit que sa façon est meilleure », explique la psychologue Nikki Lacherza-Drew au Huffpost.
Et cette habitude est, selon elle, le signe d’une faible estime de soi ou d’une peur de l’échec.
Aider les autres sans limite et s’impliquer plus que de raison
« Le fait de vouloir plaire aux gens est une forme d’anxiété parce qu’il provient de l’inquiétude de ce que les autres vont penser, dire ou faire », raconte la psychothérapeute Shannon Garcia au HuffPost.
Autrement, se mêler des affaires de tout le monde est aussi vecteur d’angoisses. Tanisha Ranger, psychologue, estime que le désir de s’impliquer en permanence peut provenir de la peur anxieuse de ne pas être aimé ou accepté, si l’on ne participe pas à ces interactions sociales.
La procrastination
Éviter de déjeuner avec ses collègues pour ne pas être confronté à des situations sociales, éviter de passer devant le bureau de cette personne qui veut toujours discuter, renoncer à une promotion car les entretiens mettent mal à l’aise…
En réalité, fuir ce genre de situation ne fait qu’accroître l’anxiété.
Source Marie-Claire