Ce vendredi 21 octobre 2022, les travailleurs de Queen Mafa ont marqué un arrêt pour célébrer les sept ans d’existence du média.
19 octobre 2015- 19 octobre 2022 . Cela fait sept ans que queenmafa.net, amplifie la voix des femmes au Burkina Faso. Premier journal d’actualité féminine en ligne au Burkina Faso, Queen Mafa a su s’imposer dans le paysage médiatique burkinabè avec un contenu de qualité. Fatouma Siri Ouattara , la promotrice a salué à juste titre, le travail abattu. « Le bilan est satisfaisant. Ce n’est pas évident pour un média d’atteindre sept ans. D’ailleurs, c’est général pour toute entreprise. Les trois premières années sont critiques et si vous arrivez à les dépasser, vous êtes sauvés ou presque sauvés », a-t-elle souligné.
La fondatrice a souligné que Queen Mafa a traversé beaucoup d’épreuves. « Aujourd’hui, nous rendons grâce à dieu » a-t-elle déclaré.
Présent à cette cérémonie, Monsieur Charlemagne Abissi, le président de l’UNALFA qui accompagne le média pour améliorer ses productions dans le cadre du projet Afri’Kibaaru, a félicité la promotrice pour avoir tenu bon malgré les difficultés. Il a encouragé l’équipe de Queen Mafa à faire encore plus d’efforts pour relever les défis. Il a terminé ses propos en souhaitant que les sept prochaines années soient des années d’abondance pour l’entreprise.
Tout comme, le président de l’UNALFA, la présidente de l’APAC, Bénédicte Zouré Sawadogo a marqué de sa présence cette cérémonie. « Je suis venue pour souhaiter joyeux anniversaire. Parce que cela fait sept ans que Queen Mafa existe, donne de l’information et essaie de sensibiliser les femmes. Ça mérite que l’Association des Professionnelles africaines de la Communication (APAC) à travers la présidente que je suis, fasse un tour ici pour féliciter et aussi encourager les travailleuses et travailleurs de Queen Mafa » a-t-elle confié.
En terme de perspectives, la promotrice a fait savoir que des actions de communication axées sur la promotion de la webtv sont envisagées. « Vous n’êtes pas sans ignorer que les vidéos sont aujourd’hui à la page. Les plateformes des vidéos comme YouTube sont celles qui sont de plus en plus vues. Les gens ont tendance à lire moins », a précisé la fondatrice. « Nous envisageons aussi des émissions en langue nationale. De nombreuses femmes ne parlent pas le français et avec la technologie, il y a beaucoup de facilités » a-t-elle ajouté.
Au cours de la cérémonie, quatre stagiaires ont reçu leurs attestations.
Françoise Tougry