Nous, les femmes burkinabè vivant en Éthiopie, croyons que les femmes peuvent atteindre leurs rêves à travers un accès plus équitable aux intrants agricoles, des liens et canaux plus forts dans les marchés des produits agricoles, mais aussi à travers l’éducation et des formations en bonnes pratiques agricoles et de transformation de produits.
Nous, les femmes burkinabè vivant en Éthiopie, croyons que les femmes peuvent atteindre leurs rêves à travers un accès plus équitable aux intrants agricoles, des liens et canaux plus forts dans les marchés des produits agricoles, mais aussi à travers l’éducation et des formations en bonnes pratiques agricoles et de transformation de produits. Il n’est de doute que la prise en considération de ces préoccupations peut accélérer la productivité, augmenter les récoltes et les revenus ruraux qui sont à la base de la bonne qualité de la nutrition et d’une société bien nourrie.
Ceci afin que la « dignification » du travail de la femme rurale, de l’homme rural, soit basée sur des politiques franches, vecteurs de développement, qui appuient les activités productives, mettent à jour la technologie et l’innovation, encouragent la formalisation et la croissance des micro- petites et moyennes entreprises et leur proposent des produits de financement adéquats. Désormais, nous devrions nous habituer à dire « entrepreneurs ruraux » au lieu de parler des « petits cultivateurs ».
Addis-Abeba, le 12 mars 2016