En troisième année de licence en communication d’entreprise à l’École supérieure de Commerce (ESC), l’étudiante Fatim Korogo, a posé son regard sur l’approche communicationnelle du journal Queen Mafa. En effet, ce mercredi 20 décembre 2023, à Ouagadougou, elle a soutenu et le jury lui a attribuée, la note de 17/20.
Pour l’obtention de sa licence en communication d’entreprise, Fatim Korogo a opté pour thème «L’analyse de l’approche communicationnelle de Queen Mafa ». « J’ai choisi de traiter ce thème pour comprendre les actions de communication mises en place par la structure et les évaluer. L’entreprise avait des insuffisances sur le plan communicationnel et je me suis donnée la tâche de réfléchir et faire des suggestions », a justifié l’impétrante du jour.
A l’en croire, cette soutenance n’est que le début d’un parcours professionnel. « Le travail continue. C’était déjà une avancée mais, je compte aller jusqu’au master voire au doctorat. En attendant, je vise d’abord à faire valoir mes talents et expériences dans le monde professionnel », a-t-elle affirmé.
A cette étape très importante de sa vie professionnelle, Fatim a dédié son succès à ses parents qui ne sont pas restés en marge du travail abattu. « J’adresse à mes parents, toute la gratitude nécessaire pour m’avoir toujours soutenue et accompagnée dans les études. C’est grâce à eux si j’en suis arrivée là. Je les remercie du fond du cœur et prie Dieu de leur accorder une longévité pour pouvoir profiter de leurs efforts » a-t-elle souhaité.
Le père de Fatim Korogo a salué le travail abattu par sa fille. « La note que vient d’obtenir ma fille est très satisfaisante. Tout parent et enseignant aimerait vivre cette émotion que je ressens, ce matin. Donc, je dédie la note à Fatim parce qu’elle est une fille sage. Si elle ne l’était pas, en n’en aurait pas », a-t-il laissé entendre.
Le maître de stage, Fatouma Siri Ouattara, promotrice du journal Queen Mafa, a loué les qualités de Fatim Korogo et la pertinence du sujet. « Elle a été un stagiaire extraordinaire. Malgré les difficultés dues à la distance qu’elle parcourt jusqu’à Queen Mafa, elle a su se débrouiller. Par rapport au sujet, elle est la troisième étudiante qui s’est intéressée à Queen Mafa, le fait que ce soit un journal féminin et comment Queen Mafa se comporte sur le marché de la presse. Donc, je pense que ce thème abordé par Fatim est d’un intérêt particulier pour nous », a-t-elle témoigné.
Abdoulaye Ouédraogo