C’est une évidence qu’il y a des personnalités qui, au Burkina Faso, se battent quotidiennement pour faire avancer le pays. Dans un contexte économique difficile, rien ne les empêcherait pourtant d’invoquer la crise pour réduire
leurs engagements.
Lui, en dépit de la conjoncture actuelle, demeure ferme sur son patriotisme économique. Dans ce domaine comme dans bien d’autres, il n’a d’ailleurs pas de leçon à recevoir de personne.
Industriel de renom, altruiste, le cimentier Inoussa Kanazoé que les grandes sphères régionales et internationales se disputent, puisque c’est de lui qu’il s’agit, est une fierté nationale. Il mérite notre respect et notre considération. C’est un modèle à enseigner à notre jeunesse dans sa quête de repères.
Son combat pour faire émerger le Burkina Faso, sur le plan des affaires est un projet et une vision fondés sur un socle solide. Et pour cela tous les burkinabè fiers et déterminés savent qu’ils peuvent compter sur son sens avisé des investissements, pour continuer à porter haut les couleurs du Faso.
Les inconduites qui consistent à porter honteusement atteinte à l’honorabilité et à la crédibilité de cette personnalité de premier plan dans la sphère économique nationale ne sont que de vaines tentatives vouées à l’échec dont la seule motivation ne peut être qu’une volonté délibérée de nuire. Ce qui déjà en soi constitue un aveu de faiblesse de la part de leurs auteurs et instigateurs.
Du reste, quand on connait le nombre d’emplois créés par IK au Burkina Faso, quand on connait les efforts fournis par ce PDG, il faut vraiment manquer de lucidité pour vouloir salir son image avec une telle légèreté.
Tout autour de la planète en ce moment, l’heure est d’ailleurs à la défense du « made in » ou du « First ». Il n’est donc pas question de se taire et de laisser s’imposer impunément le dictat d’une minorité sans conscience, qui abusivement et naïvement relayent sur les réseaux sociaux ou ailleurs, des informations erronées et infondées, à travers une forme de dénigrement menée par des esprits obtus dont notre pays serait le seul et vrai perdant.
Au Burkina Faso, nous devons apprendre à cultiver le respect de la différence dans une saine émulation de la créativité. Nous devons aussi et surtout apprendre à préserver l’intérêt général au détriment des intérêts individuels et personnels.
Cela vaut pour les individus et surtout pour les personnes morales dont la contribution est importante pour la construction d’une société forte, soudée et empreinte de cohésion sociale.
Jean Ahmadou Sidibé
@LTERPRESS