Vous pensez bien connaître Halima Gadji ? Aujourd’hui on vous livre 10 faits inédits sur l’actrice et mannequin sénégalaise. De son amour pour le chocolat en passant par son tout nouveau projet. Découvrez Halima Gadji comme vous ne l’avez jamais connue.
Halima Gadji, l’anti star…
Elle n’aime pas qu’on lui dise qu’elle est une star. “Mon travail, c’est de jouer des rôles, incarner un ou plusieurs personnages, je veux rester une personne simple et à laquelle on arrive facilement à s’identifier, qui s’inspire les autres”.
Halima Gadji est sénégalaise… mais aussi marocaine et algérienne !
Née d’un père sénégalais et d’une mère maroco-algérienne, elle passe la plus grande partie de son enfance à Dakar, au Sénégal. “J’ai une très grande famille au Sénégal mais aussi une très grande famille au Maroc. Je suis définitivement fière de mon background culturel que je continue d’explorer et d’apprendre à mieux connaître”.
Elle s’appelle “Halimatou”
Et oui ! Halima est en fait le diminutif de Halimatou, L’origine du prénom de l’actrice est Arabe et signifierait : la plume. La femme qui a allaité le prophète Mahomet [ndlr : religion musulmane] portait aussi le prénom “Halima”.
Elle adore les fruits et le chocolat
“Le chocolat ? C’est mon péché mignon. J’ai une préférence pour les Ferrero Rocher ! Et les fruits, c’est la vie, je n’en manque jamais chez moi parce que je mange sainement. J’adore faire des smoothies nature. Je vais finir par ouvrir un bar à jus de fruits ! ”
Elle aime les hommes de grande taille
“Je vais me marier avec un basketteur professionnel ! (Rires) J’ai un faible pour les hommes de grande taille, ils dégagent de l’assurance et ont beaucoup de charme. Et puis je veux me sentir protégée et bien au chaud dans leurs grands bras musclés… ( Rires).”
Elle est la sœur ainée de Kader Gadji
Dans la série Maitresse d’un homme marié, Kader Gadji joue le rôle de Birame. Il est le beau-frère de Marème avec qui il ne s’entend pas du tout. Dans la réalité, Kader Gadji est son jeune frère et ils sont plutôt complices. Halima Gadji est également la mère d’une fille née en 2010.
Elle souffre de bégaiement
Un handicap qu’Halima Gadji manage avec beaucoup de diplomatie dans son quotidien. “C’est ma croix, je la porte depuis mon enfance… Souvent, c’est assez difficile, parce que lorsque je me mets à parler très vite, je me perds. J’ai donc instauré une sorte de mécanisme. je vais au plus facile lorsque je parle lentement. Aussi, par exemple lorsque je dois dire: “je veux manger”, je dis : “j’ai faim”.
Elle a souffert de nombreuses dépressions
L’actrice Halima Gadji a avoué dans de récentes interviews avoir vécu de nombreuses dépressions qui l’auraient même conduit à des tentatives de suicide. “Je suis une véritable éponge, tout peut m’atteindre, c’est en partie à cause de mon enfance et de toutes les choses que j’ai pu vivre. Dieu merci, j’ai pu consulter des spécialistes qui ont su m’aider à panser mes blessures. A mon tour, je milite pour qu’on porte un réel intérêt sur la santé mentale en Afrique noire.”
Elle ne veut plus qu’on la limite à “maîtresse d’un homme marié”
Maîtresse d’un homme marié, série à succès où elle incarne Marème Dial, l’un des personnages principaux depuis deux saisons l’a révélée au grand public. Faisant grandir sa notoriété au -delà même des frontières ouest-africaines… “Ma carrière ne s’arrête pas à Maîtresse d’un homme marié, cette série m’a beaucoup apporté ! Mais j’ai encore du talent à revendre, il y a tellement de projets sur lesquels je travaille en ce moment… j’ai vraiment hâte que vous puissiez les découvrir…”
Elle sort bientôt un film documentaire sur la santé mentale
Halima Gadji se considère comme une avocate de la santé mentale, dans “Don’t call me fire”, son tout nouveau projet, elle aborde la question de l’identité, de la race, de la dépression et des traumatismes. Ce film documentaire événement sortira très bientôt et sera diffusé en ligne sur la chaîne youtube d’Anzul.
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