Contribuer à l’homologation des biopesticides d’origine végétale, c’est l’objectif visé par un groupe d’acteurs composés de chercheurs, d’universitaires, de producteurs, de distributeurs d’intrants agricoles, de représentants d’organisation de la société civile et des institutions publiques et privées ainsi que des journalistes scientifiques.
Contribuer à l’homologation des biopesticides d’origine végétale, c’est l’objectif visé par un groupe d’acteurs composés de chercheurs, d’universitaires, de producteurs, de distributeurs d’intrants agricoles, de représentants d’organisation de la société civile et des institutions publiques et privées ainsi que des journalistes scientifiques.
Cet engagement découle d’un atelier de partage d’expériences sur les biopesticides, tenu le 17 décembre 2015 à l’Université de Ouagadougou. La tomate et le chou sont les deux cultures retenues pour l’expérimentation tandis que la citronnelle et le neem vont servir pour le traitement .Les parties prenantes à ce projet entendent se battre pour parvenir à homologuer des biopesticides végétales aux bouts de plusieurs expériences et sur plusieurs site. D’éminents chercheurs et enseignant-chercheurs comme le professeur Ivonne Bonzi ont fait de cette question leur cheval de bataille. In fine, il s’agit de promouvoir l’agriculture biologique dans un contexte d’utilisation et d’abus de pesticides dans la maraicherculture au Burkina Faso.